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Paysagiste Pays Basque et Paysagiste Landes. conseils auprès des particuliers
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18 mars 2020

👨‍🌾 Arbre à Myrrhe.Paysagiste pays basque l'étrange histoire des plantes.

houzz_08 Loic BANCE Paysagiste conseil auprès des particuliers. Influenceur dans le monde du paysage sur Houzz France le magazine en ligne de la décoration intérieure et du jardin... Je visite!

 

Arbre à Myrrhe.

#PaysagisteBayonne

Paysagiste Bayonne l'histoire des plantes, les mythes et légendes les entourant mes passionne autant que leur utilisations...Mais les deux sont-elles dissociées ?

En savoir plus sur l'auteur.

 

Mirrha-paysagiste-bayonne

 

Commiphora myrrha ou Commiphora molmol

.

 

La gomme est à peu près similaire, au baume de La Mecque, elle est produite par Commiphora opobalsamum. Elle pouvait être un des multiples constituants de la pharmacopée maritime occidentale, mais c'est surtout la parfumerie qui continue à en faire la gloire, notamment dans les parfums de type oriental, où elle accroît la sensualité des notes de rose.

L'histoire de la myrrhe est aussi ancienne que celle de l'encens. Les Égyptiens la connaissent depuis quatre millénaires. Elle était également utilisée dans les embaumements.

Pour les hébreux, la myrrhe est l'un des principaux composants d'une huile d'onction sainte. À ce titre, elle fait partie des cadeaux apportés à Jésus par les mages.

 

 

Ovide. Les métamorphoses, livre Dixième., 300-518.

 

Myrrha :

De cette union naquit Cinyras 1, qui, s’il n’avait pas eu d’enfant aurait pu être compté parmi les mortels heureux.

Je vais chanter une affreuse histoire.

Retirez-vous, jeunes filles ; père de famille, retirez-vous ; ou bien, si mes chants ont des séductions pour vos cœurs, n’ajoutez point foi à ce récit ; ne croyez pas au forfait, ou, si vous y croyez, croyez aussi au châtiment.

Cependant, si la nature permet que l’on voie ces horreurs, je félicite les peuples de l’Ismarie et la partie du monde que nous habitons, je félicite notre patrie d’être si éloignée des contrées qui ont donné le jour à un pareil monstre ; que l’amone2, le cinname3, le costus4 et l’encens, distillé par un bois, et que des fleurs encore enrichissent la Panchaïe5 qui les produits, pourvu qu’elle soit seule aussi à produire la myrrhe ; l’arbre nouveau ne valait pas le prix dont il fut payé. Cupidon lui-même assure que ce ne sont point ses traits qui t’ont blessée, Myrrha ; il proteste que ses torches ne sont pour rien dans ton attentat. C’est une des trois sœurs qui, portant un brandon du Styx6 et des serpents gonflés de venin, te l’a inspiré ; haïr son père est un crime ; l’aimer ainsi est un crime encore plus grand que la haine.

De toute part l’élite de la noblesse te recherche ; toute la jeunesse de l’Orient vient se disputer l’honneur de partager ta couche ; entre tous les hommes, prend en un pour époux, Myrrha, pourvu qu’entre tous il y en ait un que tu exceptes.

Myrrha le sent bien ; elle combat son amour infâme et elle se dit : « Où m’entraine ma passion ? Ô dieux, piété filiale, droits sacrés des parents, je vous en supplie, prévenez un inceste, opposez-vous au crime que je médite, si toutefois c’est bien là un crime. Mais la piété filiale, dit-on, ne condamne pas ces amours et tous les autres animaux s’accouplent sans choix ; il n’y a point de honte pour une génisse à sentir son père peser sur ses reins ; le cheval fait de sa fille une épouse ; le bouc féconde les chèvres qu’il a engendrées et du germe dont il a été conçu lui-même l’oiseau conçoit à son tour. Heureux les êtres qui jouissent de ce privilège ! Les scrupules de l’homme ont créé des lois méchantes et ce que la nature permet, des arrêts jaloux le défendent. Il y a pourtant, on l’assure, des peuples chez qui la mère s’unit à son fils, et la fille à son père, et chez qui la tendresse filiale se double d’amoureux désire. Suis-je assez malheureuse de n’être point née parmi eux !  Je suis victime du hasard qui l’a donné ces lieux pour patrie. Mais pourquoi retomber dans de telles pensées ? Loin de moi, espoirs interdits ! Ce prince est bien digne que je l’aime, mais comme mon père. Ainsi donc, si je n’étais la fille du grand Cinyras, je pourrais entrer dans la couche de Cinyras ; mais parce qu’il est déjà mien il n’est pas à moi et tout mon malheur vient de notre parenté même ; Si je lui étais étrangère, mes vœux seraient plus aisément satisfaits. Je voudrais m’enfuir au loin, abandonner les champs de ma patrie pour échapper au crime ; mais l’ardeur de ma passion funeste me retient ; il faut que je reste là pour voir Cinyras, pour le toucher, lui parler et pour l’embrasser, s’il ne m’est pas permis de faire davantage. Peux-tu songer à faire davantage, fille impie ? Sens-tu combien de lois et de titres tu confonds ? Toi, devenir la rivale de ta mère, la maitresse de ton père ! Faudra-t-il qu’on t’appelle la sœur de ton fils, la mère de ton frère ? Ne craindras-tu pas les trois sœurs qui ont de noirs serpents pour chevelure et dont les criminels voient les torches redoutables menacer leurs yeux et leurs visages ? Ah, puisque-t-on corps n’a subi encore aucune souillure, ne souille point ton âme ; ne viole point par un accouplement monstrueux les lois de la nature toute-puissante ? A supposer que tu le veuilles, tu as contre toi la force des choses : Cinyras est trop bon père, trop attaché à ses devoirs. Oh combien je souhaiterais qu’il partage mon égarement ! »

Elle dit ; cependant Cinyras, qui devant la foule des prétendants, tous dignes de son alliance, ne sait à quoi se résoudre, lui demande à elle-même, en lui disant leurs noms, quel est celui qu’elle désire pour époux. Elle se tait d’abord ; tandis qu’elle tient ses regards attachés sur le visage de son père, son cœur bouillonne et ses yeux sont baignés d’une rosée brûlante ? Cinyras, croyant voir là l’effet d’une timidité virginale, veut arrêter ses larmes, il essuie ses joues et l’embrasse. Myrrha ne prend que trop de plaisir aux baisers qu’elle reçoit ; quand il la prie d’indiquer l’homme qu’elle voudrait épouser : « un homme qui te ressemble », dit-elle ; il loue cette réponse, sans en pénétrer le sens : « Garde-moi toujours, reprend-il, le même amour filial. » A ce mot d’amour filial, la jeune fille baissa le front, toute pleine du remords de son crime.

La nuit avait accompli la moitié de sa course ; le sommeil avait détendu les soucis et les corps des mortels ; mais la fille de Cinyras veille toujours, en proie à une flamme indomptable, elle revient sans cesse à ses désirs insensés ; tantôt elle désespère, tantôt elle est prête pour tout oser ; elle est partagée entre la honte et la passion et elle se demande quel parti elle doit prendre. Quand un grand arbre, blessé par la cognée, est près de recevoir le coup suprême, on ne sait encore où il tombera et de tous les côtés à la fois on se tient sur ses gardes ; ainsi cette âme légère, ébranlée par des atteintes répétées, vacille de ci de là et penche tantôt dans un sens, tantôt dans l’autre ; elle ne voit pour son amour d’autre terme, d’autre repos que dans la mort. C’est la mort qu’elle choisit. Elle se lève et décide de nouer un lacet autour de sa gorge ; après avoir attaché sa ceinture au sommet de la porte : « Adieu cher Cinyras, dit-elle, et comprend qu’elle fut la cause de ma mort. » Ayant dit, elle entourait du lien qu’elle tenait son cou son cou décoloré.

Le murmure de ces paroles parvint, dit-on, aux oreilles de la fidèle nourrice qui gardait le seuil de l’enfant élevé par ses soins. Cette vielle femme se lève, elle ouvre la porte et aperçoit l’instrument du trépas qui s’apprête ; au même instant elle pousse un cri, se frappe la poitrine, en déchire les voiles, arrache du cou de Myrrha le nœud qui l’étreint et le met en pièce ; alors enfin, donnant un libre cours à ses larmes, elle la serre dans ses bras en lui demande pourquoi ce lacet. La jeune fille se tait ; muette, immobile, elle regarde la terre ; elle déplore d’avoir laissé surprendre les longs préparatifs qu’elle a faits pour mourir ? La veille femme insiste ; découvrant ses cheveux blancs et ses mamelles taries, invoquant le berceau de Myrrha, les soins dont elle entoura son enfance, elle la conjure de lui confier ses chagrins. Elle a beau interroger ; la jeune fille se détourne et gémit.

La nourrice est déterminée à aller jusqu’au bout de ses questions ; elle ne se borne plus à promettre la discrétion : « Parle, dit-elle, et permets-moi de venir à ton aide ; ma vieillesse ne me condamne pas à l’inaction. Est-ce chez toi un coup de folie ? Je sais une femme qui a des incantations et des plantes pour te guérir. Es-tu victime d’un maléfice ? Je te ferais purifier par un rite magique. Est-ce un effet de la colère des dieux ? Il y a moyen d’apaiser leur colère par des sacrifices. Que pourrais-je supposer encore ? A coup sûr ta fortune et ta famille sont intactes et poursuivent tout droit leur course ; tu as encore ta mère et ton père. » Myrrha, en entendant parler de son père, a poussé un soupir du plus profond de son cœur ; la nourrice, même alors, n’a pas le moindre soupçon d’un crime ; pourtant elle devine quelque chagrin d’amour ?

 

Suite:

Tenace dans sa résolution, elle supplie la jeune fille de lui révéler toute la vérité, quelle qu’elle soit.

Elle la prend baigné de larme, sur son sein flétri par l’âge et, l’enveloppant toute entière dans ses bras débiles : « j’ai compris, dit-elle ; tu aimes ; dans ce cas encore (rassure-toi) mon zèle sera tout à ton service et rien n sera jamais connu de ton père. » D’un bond Myrrha s’et arrachée des bras qui l’entouraient ; éperdue et pressant sa couche sur son visage : « Va-t’en, s’écrie-t-elle, je t’en conjure ; épargne une malheureuse accablée de honte. » Sa compagne insistait : « Va-t’en, reprend Myrrha, ou bien cesse de me demander la cause de ma douleur : c’est un crime que tu travailles à connaitre. »

La vieille femme frissonne ; elle tend ses mains, que l’âge et la crainte font trembler ; suppliante, elle tombe aux pieds de celle qu’elle a nourrie ; tantôt elle la prend par les caresses, tantôt elle cherche à l’effrayer : elle veut tout savoir ; sinon elle menace de révéler et le lacet et la funèbre tentative ; mais elle promet ses bons offices, si elle reçoit la confidence de cet amour.

Myrrha relève la tête ; elle inonde d’un flot de larmes le sein de sa nourrice ; plusieurs fois elle fait un effort pour parler ; chaque fois elle étouffe sa voix ; enfin, couvrant de ses vêtements son visage, dans l’excès de sa honte, elle s’écrie : « Oh ! que ma mère est heureuse d’avoir un tel époux ! » Sans un mot de plus elle se remet à sangloter. La nourrice à compris ; un frémissement pénètre jusqu’à la moelle de ses os dans ses membres glacés ; ses cheveux blancs se dressent de toutes parts sur sa tête, hérissés d’horreur. A force de discours elle cherche à bannir, si c’est possible, cet amour abominable ; la jeune fille reconnait la sagesse de ses remontrances ; mais elle est toujours résolue à mourir plutôt que de ne pas avoir celui qu’elle aime : « Vis donc, dit la nourrice, tu auras ton… » elle n’ose dire « ton père » ; elle se tait, non sans prendre les dieux à témoin de sa promesse.

Les mères de famille célébraient pieusement les fêtes annuelles de Cérès, où, vêtues d’étoffes blanches comme la neige, elles offrent des guirlandes d’épis, prémices de leurs récoltes, et où elles s’interdisent jusqu’à la fin de la neuvième nuit les plaisirs de Vénus et le contact de leurs époux. La reine Cenchréis assiste à leurs assemblées ; elle fréquente avec elles les saints mystères. Alors, tandis que l’épouse légitime est absente de sa couche, la nourrice, ayant trouvé Cinyras appesanti par le vin, lui dépeint, dans son zèle coupable, une femme éprise pour lui d’un amour qui n’est que trop réel, mais en déguisant son nom, et lui vante sa beauté ; il demande quel est son âge : « Celui de Myrrha » répond-elle. Il lui ordonne d’aller la chercher ; de retour chez elle : « Sois satisfaite, dit-elle, mon enfant ; la victoire est à nous. » La malheureuse fille n’abandonne pas à sa joie son âme tout entière ; un triste pressentiment l’accable ; et cependant elle est satisfaite, tant ses pensées se combattent dans son esprit. C’était l’heure où tout se tait ; parmi le Trions le Bouvier avait incliné sur la pente où obliquait le timon (7). Myrrha marche à son crime. La lune d’or s’enfuit, les astres se cachent derrière de noirs nuages ; la nuit à perdu ses flambeaux. Le premier, Icare, tu te voiles la face, imité par Erigone (8), à qui sa piété filiale a valu des honneurs célestes. Trois fois Myrrha, ayant buté du pied, est invitée par ce présage à revenir en arrière ; trois fois le funèbre hibou a fait entendre, pour l’avertir, son cri lugubre ; elle va toujours.

Les épaisses ténèbres de la nuit diminuent sa honte.De la main gauche elle tient la main de sa nourrice ; de sa main droite elle explore à tâtons sa route au milieu de l’obscurité. Déjà elle touche le seuil e la chambre, déjà elle ouvre la porte ; déjà elle est conduite à l’intérieur ; alors ses jarrets fléchissent, ses genoux tremblent ; ses couleurs et son sang se retirent, son courage l’abandonne en chemin. Plus elle approche du crime, plus elle est saisie d’horreur ; elle se repent de son audace et voudrait pouvoir, sans être reconnue, revenir en arrière. Mais tandis qu’elle hésite, la vieille l’entraîne par la main, l’amène près du lit élevé et, la livrant à son père : « Tiens, dit-elle, la voici ; elle est à toi, Cinyras » ; et elle unit leurs corps maudits. Le père reçoit l’enfant de ses entrailles dans sa couche impure ; il apaise les craintes de la jeune fille et s’efforce de la rassurer. Peut-être même, usant des droits de l’âge, lui dit-il « ma fille » ; peut-être lui dit-elle « mon père » ; ainsi rien ne manque à l’inceste, pas même les noms.

Myrrha sort fécondée du lit paternel ; elle a reçu dans ses flans détestables une semence impie ; elle porte en elle le fruit du forfait.

La nuit suivante renouvelle ses honteux plaisirs, et ce n’est pas la dernière ; à la fin Cinyras, impatient de connaître celle qui l’aime, après l’avoir tant de fois tenue dans ses bras, voit à la clarté d’un flambeau et sa fille et le crime. Muet de douleur, il tire une épée étincelante du fourreau suspendu près de lui. Myrrha prend la fuite ; grâce aux épaisses ténèbres de la nuit, elle échappe à la mort et, après avoir erré à travers les vastes campagnes, elle quitte l’Arabie fertile en palmiers et les terres de la Panchaïe. Neuf fois, pendant ses courses vagabondes, elle avait vu se renouveler le croissant de la lune, lorsque enfin, épuisée, elle s’arrêta sur la terre de Saba, incapable de porter plus longtemps le fardeau de son sein. Alors, ne sachant que souhaiter, partagée entre la crainte de la mort et le dégout de la vie, elle fit cette prière : « Ô dieu, si vos oreilles sont ouvertes aux aveux des coupables, j’ai mérité mon sort et je ne refuse pas de subir un terrible châtiment ; mais je ne veux pas souiller les vivants en restant dans ce monde, ni, morte, ceux qui ne sont plus ; bannissez-moi de l’un et de l’autre empire ; faites de moi un autre être, à qui soient interdites et la vie et la mort. »

Il y a une divinité dont les oreilles sont ouvertes aux aveux des coupables.

Les désirs de Myrrha, du moins ses désirs suprêmes, trouvèrent les dieux propices ; car tandis qu’elle parle encore, la terre recouvre ses pieds ; leurs ongles se fendent et ils en sort, s’allongeant obliquement, des racines qui servent de base à un tronc élancé ; ses os se changent en un bois solide, ou subsiste, au milieu, la moelle ; son sang devient de la sève ; ses bras forment de grosses branches ; ses doigts de petites ; une dure écorce remplace sa peau. Déjà l’arbre croissant, avait pressé son sein et son lourd fardeau ; après avoir écrasé sa poitrine, il se préparait à recouvrir son cou ; elle ne voulut pas attendre davantage ; allant au-devant du bois qui montait, elle s’affaissa sur elle-même et plongea son visage dans l’écorce. Quoiqu’elle ait perdu avec son corps tout sentiment, elle continue à pleurer et des gouttes tièdes s’échappent de l’arbre. Ses larmes ont un grand prix ; la myrrhe, distillée par le bois, conserve le nom de celle qui la donne ; on parlera d’elle dans la suite des âges.

Cependant, l’enfant conçu dans le crime avait crû sous le bois et il cherchait une issue par où il pût se dégager du sein qui le portait ; les flans alourdis de la mère enflent au milieu de l’arbre ; ils se tendent sous le poids de leur fardeau ; elle ne peut plus parler pour exprimer ses souffrances, la voix lui manque, au moment d’enfanter, pour appeler Lucine à son secours. Pourtant l’arbre semble faire des efforts ; il se courbe, il pousse des gémissements répétés, il est baigné d’un flot de larme. Lucine, avec bonté, s’approche des branches endolories, elle y porte la main et prononce les paroles qui délivrent les femmes en couches. Alors l’arbre s’entrouvre ; par une fente de l’écorce il rend son fardeau vivant l’enfant vagit ; les Naïades le couche sur un lit d’herbe tendre et le parfume avec les larmes de sa mère ? L’envie elle-même admirait sa beauté ; il rappelle les Amours que les peintres représentent nus dans leurs tableaux ; mais si vous voulez que le costume ne change rien à la ressemblance, donnez à cet enfant 9 un léger carquois, ou retirez le sien à l’Amour.

  

Note :

1 : Cinyras (en grec ancien Κινύρας / Kinýras), fils d'Apollon et de Paphos. Paphos étant dans la mythologie grecque, la fille du sculpteur Pygmalion et de sa création, la statue Galatée. Une statue au trait parfait, changé en femme par vénus, le jour ou Chypre tout entière célébrait avec éclat la fête de la déesse.

2 : Le nom Amomum vient du mot grec "amomon" qui désignait une épice originaire de l'Inde.

3 : Arbre ou arbuste aromatique (famille des Lauracées) originaire d'Asie, dont les variétés les plus connues sont le camphrier et le cannelier.

4 : est un genre d'environ 150 espèces de la famille des Costaceae. Il est présent dans toutes les régions tropicales.

5 : L'île de Panchaïe (Pan-gé = la terre du dieu Pan) qui fait tout à fait penser à l'île de Méroé (l'Atlantide de Platon).

6 : Un brandon signifie, un corps enflammé, un flambeau de paille tortillée. Par extension : ce qui donne le feu, qui provoque des troubles, « Elle personnifie le Styx, un des fleuves des Enfers ».

7 : Manière savante de dire qu’il est plus de minuit.

8 : Erigone est la fille d’Icare.

9 : Cet enfant se nommera Andonis. Il deviendra l’amour d’Aphrodite. Les amours d'Adonis avec Aphrodite et Perséphone symbolisent les cycles des saisons et de leurs capacités à produire des richesses dont pouvaient profiter les hommes. « On reconnaît dans ce mythe une personnification des forces productrices de la nature et une image du rythme des saisons. »

 

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Loïc BANCE Paysagiste conseil. Lauréat du prix Best Of Houzz 2020 catègorie "Service"

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